Je baise ma soumise sexuelle avec un gode ceinture

Bonjour, avant de commencer mon histoire, je voudrais d’abord me présenter. Je m’appelle Fiona et j’ai de longs cheveux brun-roux. Ma taille de bonnet est 70 A, je suis relativement mince et mesure 1 mètre et 73 centimètres. Je fais très attention à mon apparence, c’est pourquoi j’étais très populaire dans mon école et que tous les garçons avaient un faible pour moi. Mais je ne veux pas vous faire languir et je vais commencer par vous raconter mon histoire. Tout a commencé quand je suis née le 20 mars 2002. J’ai eu une enfance relativement bonne. J’étais extrêmement populaire à l’école primaire et ma popularité n’a pas diminué par la suite. Mon père était plein aux as. Nous vivions dans le meilleur quartier de notre ville et avions beaucoup de domestiques. Ma mère est malheureusement décédée à ma naissance et j’ai donc eu plusieurs baby-sitters et « mères nourricières ».

Toutes étaient assez bonnes, mais aucune n’était meilleure que Nina. C’était la meilleure. Je l’ai eue quand j’avais 15 ans et je la connais assez bien, si vous voyez ce que je veux dire. Elle a de longs cheveux noirs et raides. Nina est mince et fait un bonnet 70 B. Elle mesure cinq centimètres de moins que moi et a 21 ans. Quand j’ai eu 18 ans, j’ai appris que tous les domestiques de la maison de mon père étaient des esclaves et qu’ils le faisaient volontairement. C’est le cas de Nina. Mon père a vu qu’elle me tenait à cœur et pour mes dix-huit ans, il m’a offert Nina. Jusqu’alors, je n’avais guère eu d’expérience sexuelle. Seulement par le biais de pornos que je regardais. Donc en gros, le jour de mes 18 ans, j’ai eu ma première fois, c’était avec Nina. C’était tellement bien. C’est pourquoi je vais vous le dire. J’étais déjà très intéressée par le BDSM et le SM.

Quand nous sommes arrivés dans ma chambre, j’ai vu une cage pour Nina, où elle devait dormir. Mais cela n’a pas eu lieu cette nuit-là. J’étais en vacances, nous avions donc suffisamment de temps. J’ai aussi vu une valise sur mon lit et quand je l’ai ouverte, il y avait des fouets, des cravaches, des plugs anaux, des chaînes et bien plus encore. La première chose que j’ai ordonnée à Nina, c’est de se déshabiller. Quand elle s’est retrouvée ainsi nue devant moi, elle m’a demandé « Et maintenant, Fiona ». J’étais outrée qu’elle m’appelle maintenant Fiona, mais elle ne savait pas faire autrement, alors je l’ai giflée et lui ai dit « Tu ne m’appelles plus Fiona, mais maîtresse ! Est-ce qu’on s’est bien compris ! » Nina dit « Oui, maîtresse ». Et je l’ai attachée à mon lit, les jambes écartées de façon à ce que je puisse bien voir sa chatte, ses bras étaient attachés aux deux autres montants du lit, de sorte qu’elle pouvait à peine bouger.

J’ai allumé une bougie et lorsque la cire était liquide, je l’ai fait tomber sur Nina. Elle a crié et m’a dit d’arrêter, cela m’excitait encore plus et me faisait mouiller. Nous avons passé une bonne nuit, elle a crié comme s’il n’y avait pas de lendemain, et j’ai continué. Je lui ai introduit le plug anal et son trou du cul est devenu de plus en plus grand. Je la frappais et la côtisais. J’ai même sorti un gode-ceinture et je l’ai pénétrée, nous avons fait cela toute la nuit et quand le matin est arrivé, j’étais encore éveillé et je la baisais. J’avais encore deux semaines de vacances et j’en ai profité pleinement. Nina ne se reposait plus, car je l’utilisais tous les jours comme une esclave, ce qu’elle était. Un mois plus tard, mon père était en voyage d’affaires et je pouvais faire ce que je voulais.

J’ai donc invité quelques amis, également fascinés par le BDSM et le SM, et nous avons fait la fête. Les domestiques devaient tous se promener en tenue légère et chacun pouvait faire ce qu’il voulait avec n’importe qui sauf avec Nina, car elle était à moi. Nous nous sommes beaucoup amusés, mais vers midi le lendemain, la police est venue m’annoncer une triste nouvelle, mon père est décédé, il m’a tout légué, même les esclaves, et maintenant je suis une dominatrice de 20 ans avec un peu plus de 20 esclaves et femmes esclaves dont je dois m’occuper. C’est pourquoi j’ai abandonné mes études, j’ai rejoint les affaires de mon père et je m’occupe de l’entreprise.

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